Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (141)

Un, deux, trois, j’avais pensé le dépucelage de Katia, le jour de ses dix-huit ans, afin qu’elle monnaye ce qu’une jeune fille ne peut offrir qu’une fois à un partenaire, mais ce que va faire la petite dans moins d’une seconde était impensable dans un récit.
Elle se fait planter les verges des jumeaux dans cette fraction de seconde se faisant enlever simultanément pucelage Chatte et anus.

• C’est fait, ta petite protégée est officiellement la pute au monde la mieux rémunérée, 150 000 € pour une passe avec deux verges, elle vient de mettre la barre très haute, je connais les jumeaux, ils baisent toujours ensemble.
La double pénétration, ils pratiquent déjà, mais avec dépucelage, je peux t’assurer qu’ils viennent, eux aussi de battre un record.
• Tu, les films toutes les fois ?
Savent-ils que leurs ébats le sont ?
• Non, c’est le studio laissé par une grande vedette qui l’avait fait construire du temps où les déplacements étaient plus difficiles, avec le mur, il était resté 6 mois avec ses musiciens pour faire une grande tournée en Russie et dans ses satellites.
• Il a été joué sur la Lune !
• De quoi parles-tu, il était homo !
• Je déconnecte, vas-y, monte bien sûr ma bite, tu te rends compte, on discute, on regarde la petite changer de partenaire, les deux frères changent de place, bon sang, regarde Christine, elle recommence en double pénée, mais après avoir fait intervertir les queues qui la pénètrent.
Les deux auront eu en même temps son anus et sa chatte, ils ont bien fait de lâcher autant de pognons, c’est une goutte d’eau dans leur fortune, la tournée que je leur fais faire va leur rapporter presque 10 fois ça.
Il ne faut pas oublier la petite Magali qui s’en prend plein la lune.
• C’est pour ça que je te disais qu’il avait joué sur la Lune, je finis par confondre les images, tes propos et la fierté que j’ai par l’exploit réalisé par Katia, tu disais pour le studio d’enregistrement.


• C’est Virginie qui les a découverts, il se produisait dans un trou à Moscou, j’ignore, comment elle était arrivée là, mieux vaut ne pas le savoir avec elle, elle les a ramenés ici et depuis, elle les couve.
• Elle a baisé avec eux !
• Non, elle a rencontré Vladimir et semble vouloir devenir une honorable mère de famille, c’est con, à force de parler pour la première fois de ma vie, je débande dans la chatte d’une femme.
• Comment veux-tu que je te vide les couilles si tu n’es pas en état de bander ?
• Resuce, tu verras, je vais repartir au quart de tour.
• J’ai mieux à te proposer, dans cette armoire, vu le système de fermeture plus près d’un coffre-fort que d’une simple armoire de rangement, tu dois avoir des C.D. que tu ne peux montrer à, n'importe qui.
• Bien sûr, je suis même obligé d’en convertir certain aux nouvelles technologies, j’ai des cassettes que nous tournions au début qui ont tendance à être moins lisible de nos jours bien que j’aie encore un lecteur.
Je les recopie sur des C.D. plus fiables du moins maintenant bien que des banques de données ultraprotégées se mettent en place, d’ailleurs, je vais en parler à Ophélie demain, dans son école, elle doit avoir connaissance de nouvelles technologies.
• Qu’as-tu à me montrer ?
• Notre perle attend, j’arrête toutes les télés, Katia, c'est fait, c’est une femme, de son côté Ophélie roucoule, les trois grâces, merde, elles en veulent encore.
Les mecs qui sont en leurs compagnies, certains comme tu le sais, sont des copains, ils en auront eux pour leur argent, laisse-moi avancer ce fauteuil de bureau, tu vas voir l’origine de l’interdiction aux filles de boire de l’alcool, certaines images qui sont inscrites à jamais sur ce morceau de plastique sont difficilement regardables.
• Laisse tomber le fauteuil, je vais m’asseoir sur tes genoux !
• Et dans cinq minutes, je suis dans ta chatte ma salope et nous ferons autre chose que de regarder.

• Comme quoi par hasard ?
• Arrête Christine si je cherche bien, j’ai peut-être quelques menottes et cravaches pour te faire obéir.
• Les menottes, la cravache, pourquoi pas, mais il est loin le temps où j’obéissais à un homme.
• Regarde avant que j’éteigne l’écran, le regard que tu m’envoies à la fin de ta première sodomie, je sais pour l’avoir fait depuis avec toi que malgré ces yeux amoureux maintenant tu en redemande.
Assieds-toi là, je vais remplacer ton CD par celui-ci.

J’ai le temps de voir ma bouche reprendre Igor sur mon C.D., du moins va-t-il le devenir, quand j’aurai fait une copie de ma première enveloppe, plutôt mallette à 10 000 €.

• Image, c’est la première bande qu'elle a faite sans que je le sache, Virginie voulait se faire un souvenir personnel, elle m’a envoyé à l’autre bout du pays pendant qu’elle démarrait son enregistrement.
J’ai supprimé la partie sans images, maintenant les films s’enregistrent grâce à un détecteur de présence, regarde.

Virginie entre dans la chambre avec deux types, elle les embrasses, jamais vue marraine embrasser des mecs, même Vladimir à pleine bouche.

• Elle va parler en anglais eux en russe, elle m’a avoué que lorsque les images que tu vois sont devant nous, ils lui ont fait déjà ingurgiter quatre vodkas pures avec un peu de glace.

Je comprends pourquoi elle les embrasse goulûment surtout qu’à chaque fois qu’elle change de bouche, ils en profitent pour lui faire boire une rasade de chaque bouteille qu’ils ont dans leur main.

• Tu vois, ils la font boire, ce qu’elle fait de plus en plus facilement alors qu’eux se gardent bien d’en prendre la moindre goutte, ils cherchent à la saouler, tu vas voir ou ils veulent en arriver ces salopards.

Au début, rien de bien normal à part la picole de mon amie, elle suce les mecs qui ont fait sortir leur queue, comme je l’ai dit tout à l’heure et après les confidences qu’elle m’a faites sur sa jeunesse à partir de dix-huit ans ou elle a commencé à tapiner, des queues, elle en a sucé, elle est même très douée pour les gorges profondes !
En ce moment s’il ne dort pas, je suis enclin à penser qu’elle a la bite de Vladimir au fond de sa gorge.

Sur l’écran, les rasades de vodka succèdent les unes aux autres, Virginie doit être entièrement défoncée par l’alcool.
Il laisse tomber leur bouteille, Virginie à genoux devant les bites des garçons saute littéralement sur une bouteille qui roule à sa portée et la finit cul sec avant que les gars réagissent.
Il parle en russe, la grande ne doit pas comprendre ce qu’ils disent, mais est-elle en état de comprendre ?

• Je te traduis chaque fois qu’ils parleront ma langue, d’ailleurs il va falloir que tu suives des cours de russe, ça te sera utile, on a beaucoup d'escortes slaves, mais tu as vu notre site.
• Que disent-ils ?

« Stop, il faut qu’elle arrête de boire, Ivan va nous massacrer avec ses grosses paluches si nous abîmons son joujou, tu as vu, comment il la regardait quand nous la draguions depuis deux jours.
J’étais sûr qu’elle nous emmènerait dans sa chambre cette salope.
Au début, j’ai cru que c’était une pute française, mais quand nous avons sue que c’était une touriste qui voulait s’encanailler et qu’Ivan la vue, le fric qu’il nous a donné pour qu’on la prépare, lui permettra de prendre son pied, appelle-le, range les bouteilles, elle est accro.
Regarde, elle suce la bouteille vide comme elle suçait nos bites, il va être content, c’est mieux qu’une pute qui écarterait ses cuisses pour qu’elle se fasse saillir bien que. »

Igor se tourne vers moi.

• Ils se sont arrêtés d'un seul coup, tu vas comprendre pourquoi tout à l’heure, ils ont certainement eu peur qu’elle ne comprenne et qu’elle se sauve.
Elle m’a avoué qu’elle ne se souvenait de rien, la dernière image qu’elle a en mémoire, c’est quand elle s’est agenouillée pour les sucer.
• Si j’ai bien vu, elle a encore bu une demi-bouteille après.
• Pendant le temps où ils ont attendu le dénommé Ivan, j’ai coupé, jusqu’à ce qu’il arrive.

C’est une bête qui arrive, plus de 2 mètres, au moins 150 Kilos ci ce n’est pas plus, il est accompagné par deux gars moins massifs, mais imposant aussi.


• Ivan, tu vas être content de nous, on l’a chauffée comme tu les aimes.
• Regardez ce que je vois patron, ça pourrait la préparer à vous recevoir.
• Les boules au pied du lit, t’es un malade Georgy, mais j’aime ça, empoignez là, portez là à bout de bras et empalez là.

Il la porte à quatre, la soulevant dix centimètres au-dessus du pied de lit et surtout de cette terrible boule que je vois briller.

• C’est bon, laisser descendre, j’écarte sa chatte pour que ça rentre.

Virginie semble absente, la boule de 10 centimètres de diamètre entre centimètres par centimètre, comme elle est placée, un de ses pieds touche la couverture, est-ce suffisant pour atténuer la pénétration de cette sphère.
Ma copine reste elle-même, car je l’entends commencer à émettre des sons, on dirait que c’est du fond de son ventre ou doit être entièrement rentré la boule qu’ils sortent par sa bouche.
Le seul problème, c’est qu’elle ne métrise pas le coït comme toute bonne pute doit le faire avec ses clients, surtout quand Ivan détache son pantalon et qu’il en sort une verge monstrueuse même si à voir Virginie se faire empaler par le morceau de bronze, il bande au maximum.
Il s’allonge sur le lit, son étendard regardant le ciel.

• Apportez-moi cette femelle que je l’empale, encore une qui va aimer mon sabre.

Il la remonte la tenant sous les bras, quand la boule du pied de lit sort, je vois qu’un filet de sang reste dessus.
Ils la présentent au pieu bien plus impressionnant que cette boule et la laissent tomber sur le pieu.
Elle se retrouve à quatre pattes les jambes de chaque côté du corps massif de cet homme, à partir de la c’est elle qui monte et qui descend seule sur cette verge qui doit la défoncer, j’ai mal pour elle…

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